Une nuit normale ?¿

Dans cette nuit du 23 décembre 2007, on sentait l'illusion penètrer les rues de la villes. Dans un soulèvement de brûme, on y croisait des ombres d'errantes pueriles, comme des noctambules du samedi soir. La grande rue ce soir là, était remplie d'odeur appétissante qui vous éguisait les canines. C'était si bon, de les voir tous s'agiter dans cette folie destructrice. Car Alexansdre avait un semblant de faim qui lui rongeait l'estomac, comme une envie de sang délicieux.

Il était là, debout contre un mur des bâtiments qui longeaient la rue, la tête baissée, il scrutait l'horizon par son odorat developpé, comme une mascarade oubliant la futilité humaine. Cette futilité qui voyait souvant dans les yeux des passant. Que le monde avait changer depuis toutes ces années, depuis 400 ans.. Il le remarquait toujours un peu plus chaque jours. Mais cela ne le bouleversait guère, car s'adapter est une dure réalité de la mort.. Et d'un instant, Il sentit un éclair odorant qui lui donna l'envie.. Il regarda un instant en levant les yeux doucement les yeux.. Et il vie une belle brebis gualeuse descendant la rue seule, habiler de noire de rouge, de blanc et de gris.. Dans un déhanchement droit et précis, elle devait se rendre dans un de ces bars plus bas.. Histoire de rejoindre ces amies. Il la suiva alors, guettant ses moindre pats pour connaître l'allusion de cette passion de jeunesse...

C'est arrivé à mi-chemin, dans un coup fraticide, qu'il tua sa victime, si jeune, si belle, si envoutante du regard... dans des marches.. elle criait encore un peux.. Alexandre se delectais de si bon nectar de vie, qu'il la laissait crier sans rien dire, faire, la laissant finir sa vie dans ces bras de tuer. Car cela devrait être ainsi. Elle devait mourir.

Enfin, du sang.. Cela ne m'en déplait.

Que se nectar de se soir devienne referme ma plaie.

Comme une renaissance de mon être pour une nouvelle nuit, qui sait.

La jeune fille c'était assise sur un banc. Assé loin de cette grande rue dangereuse. Ses genoux étaient replié, entoutrer de ses bras. Elle n'avait qu'un petit débardeur et un slim foncé sur elle... Avec une petite pair de ballerines à ses pieds posé sur le banc. La brise de vent froid la faisait frissoner sans cesse...

Lentement, elle releva la tête pour voir le ciel, doux, plus doux que le vent qui lui glaçait les os... Elle voyait la lune, elle était pleine cette nuit. La jeune fille grinça légèrement des dents, tellement le froid la parcourait...

Quand un cris la crispa d'un coup, son regard se posa autours d'elle. La peur l'avait envahie, mais la curiosité et l'espoir de garder quelqu'un en vie lui donna du courage.

Elle se leva donc et coura jusqu'à la rue. Marion cherchait du regard la rue, et plus loin, aperçu deux silhouette, une couchée au sol et l'autre incliné vers celle-ci.

Son corps frissonna en voyent ça. Serais-ce un vampire qui tuerai sa proie, si faible et sans défenses. Ses yeux se remplirent de larmes. Il était sûrement trop tard pour sauver la vie de sa proie. La jeune fille recula d'un pas avant de s'éffondrer au sol. Elle mis ses yeux devant ça tête pour légèrement cacher ses pleurs, espèrent que ce vampire ne vienne pas à sa rencontre... ?

Détendu ne finir son repas, Alexandre marchait droit dans la rue, tête baissée, il faisait pas à pas en comptant les nombre de pied qu'il voyait. Il aimait qu'on croyait qu'il était banaliste, timide voir rêveur. Il retrouvait alors quelque force, d'après un petit combat les nuits dernières avec un de ces vampire harnieux qu'il detestait tant.. Ses pensées se lisaient sur son visage à cet instant. Car se souvenir était énervant..

C'est alors qu'il s'arrêta à son bar habituel humain, un simpliste endroit, de rouge vêtu. Il regarda si son porte-feuile était toujours là, avec l'argent qu'il piqua à sa dernière proie.. Il l'ouvrit, sortit un, deux billets. Et reserra sa cravate, puis entra. Il y voyait bon nombre de proie alèchante. Mais ce n'était pas encore l'heure de se trouver une nouvelle brebi.
Alexandre marcha jusqu'au comptoir, demanda un vert de son meilleur vin rouge. Et deposa ces 2 billets de 25 €uros.

Alexandre :

S'il vous plait petit homme, un de vos meilleure verre de vin.

Serveur :

Oui jeune homme tout est possible, si l'argent est là, surtout chez moi.

Alexandre :

Soit, voilà Deux billets

Rouge de joie le serveur pris les billet et les rangea dans sa caisse. il le regard alexandre d'un air amadoué soumis alors.. Comme si il savait qu'il pourrait toujours en donner toujours un peu plus comme à son habitude, vu sa somme augmentait chaque semaine. Alexandre bû alors son verre, d'une lenteur savourant son parfum. Il aimait temps le vin couleur sang.. Et regarda autour de lui..

(x Une grenadine ?

(x Un vin rouge alors...

A la fin de son verre, il se leva doucement en regardant d'un air étrange cette fille déjà vu auparavant. "pourquoi me suit-elle" dit-il.. Il n'aimait pas ça, il préfèrait jouer de sa solitude, il prefèrerai un proie difficilie, qu'une proie comme elle immature, et cherchant la facilité ou n'est guère. Alexandre se mit alors en marche vers la sortie regardant toutes ces âmes égarées, peut être effrayées par lui même. Mais peut importe, il suivait son chemin vers cette sorti.. Regardant un instant le serveur en lui faisant un signe de la main, et cette demoiselle qui le suivait sans savoir pourquoi.

Le vampire se dirigea vers sa terre destinée. Pour y dormir profondément avant le levé du soleil.. Il était déjà 5 heures du matin, et son instinct lui disait de se dépècher pour ne pas souffrir des brûlures. Il marcha donc d'un pas rapide et droit jusqu'à cette endroit pour s'y plongé dans un profond sommeil.

Marion but une gorgée de vin quand Alex' partit vers la sortie... Tiens donc... La jeune fille dépose son verre sur le comptoir et soupira fortement. Elle regardit tout autours d'elle... Marion n'avait vraiment rien à faire ici. D'ailleurs, elle sortie à son tours sans même vidé son verre. et là, elle partie à l'hotel où elle rencontra Charlotte. x)

[ FINISH ]

» La nuit tombe...