Chasse nocturne.

Ses bruits de pas martèle le sol bitumeux et elle court de plus en plus vite fuyant l'étrange homme qui la suit aussi courant plus doucement celui-là, il semble prendre son temps se délectant de la délicieuse odeur de la peur qui se dégage de ce corps en furie. Ils se sont rencontrés à la tombée de la nuit. Elle cherchait son chemain avançant à l'aveuglette et il l'a trouvé avant de lui proposer de l'accompagner. Une longue conversation s'en ai suivit ou chacun essayait de comprendre et de mieux connaître l'autre et pourtant elle n'avait plus de secret pour lui. Il lisait alors en elle comme dans un livre ouvert, sentant qu'elle devenait de plus en plus confiante, sentant qu'elle s'abandonnait à son charme qui faisait petit à petit son effet mais il jouait le jeu à la perfection ce qui était rare chez lui : jouer avec ses proies ne lui arrivait que très rarement...

Les minutes passèrent et bientôt la femme se retrouva plaquée contre un mur frois collé contre le torse d'un bel homme au air ténébreux qui la fixait droit dans les yeux un sourire dès plus charmant aux lèves. Il c'est alors penché et ses lèvres ont rencontrées celles de la femme avant de glisser lentement le long de son coup. Sa peau chaude et douce, son sang chaud qui bientôt s'écoulait dans sa gorge et l'extase de la vie qui s'en va. Or, le vampire qui tuait se fit frapper par un vieille homme n'ayant plus toute sa tête et la femme portant ses doigts à son coup sentie les traces puis le sang. Un crie, la peur et elle part en courant tandis que le vampire assène un violent coup au bourré avant de partir à la poursuite de sa proie. Elle fuit mais elle n'ira nul part cependant Louis veut lui faire penser le contraire, lui faire croire qu'elle à encore l'espoire de s'en sortir...

Elle court, elle court et Louis la suit avant de l'attraper. Sa main se ferme alors sur le poignet de la femme qui étouffe un cri avant de se tuer par le vampire heureux de sentir une nouvelle fois le corps chaud de sa victime contre le sien si froid en comparaison. Elle glisse doucement et Louis l'abandonner ici allant plus loin là ou ses pas le méneront l'esprit alleurs se remettant tout doucement de la douce euphorie qu'il venait de ressentir...

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